Le programme 2021

Retrouvez l'ensemble des interventions

  • Vendredi 8 octobre
  • Samedi 9 octobre
  • Palais des congrès de Saint-Raphaël
Photo Frédéric Masquelier
14:30 - 14:45Ouverture par Frédéric Masquelier, Maire de Saint-Raphaël, Président d’Estérel Côte d’Azur Agglomération
Photo de Arnaud Benedetti
14:45 - 16:45Les nouvelles menaces : de quoi avons-nous peur aujourd’hui ? Animé par Arnaud Benedetti
  • Philippe Manière (Président et co-fondateur de Vae Solis Communications)
  • Michel Maffesoli (Professeur émérite à la Sorbonne, membre de l’Institut Universitaire de France)
  • Didier Leschi (Directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, président de l’Institut européen en sciences des religions)
  • Mathieu Bock-Côté (Essayiste)
  • Arnaud Browaëys (Général de corps d’Armée)
  • David Dupont-Noel (Directeur général adjoint, Managing Partner Audit & Assurance de Deloitte France)

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Arnaud Dupui-Castérès
17:15 - 19:00La société technicienne fait-elle reculer le consentement au risque ? Animé par Arnaud Dupui-Casterès
  • Catherine Bréchignac (Membre de l’Académie des sciences, ambassadrice déléguée à la science, la technologie et l’innovation)
  • Marc Van Caeneghem (Managing Partner Risk Advisory de Deloitte)
  • Gérard Mourou (Prix Nobel de physique)
  • Gérald Bronner (Professeur de sociologie à l’Université de Paris, membre de l’Académie nationale de médecine, membre de l’Académie des technologies)

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20:00Réception organisée par Deloitte – sur invitation

Le programme Best Managed Companies de Deloitte sera inauguré au cours d’un cocktail dinatoire.

  • Palais des congrès de Saint-Raphaël
Jérôme Sainte-Marie
09:30 - 10:00Présentation du sondage « Les Français face aux menaces contemporaines » par Jérôme Sainte-Marie président de PollingVox
Photo Alexandre Devecchio
10:00 - 12:00La liberté est-elle en danger ? Animé par Alexandre Devecchio

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Photo Jean-François Achilli
14:00 - 16:30La politique peut-elle quelque chose ? Animé par Jean-François Achilli
  • Chantal Delsol (Philosophe, professeur émérite des Universités, membre de l’Institut)
  • Jean Garrigues (Président du Comité d’histoire parlementaire et politique)
  • Chloé Morin (Directrice generale et co-fondatrice chez Societing)
  • Anne-Laure Kiechel (Conseillère économique, fondatrice de Global Sovereign Advisory)
  • Ross McInnes (Président de Safran)
  • Laétitia Hélouet (Directrice de HEIP et du Centre d’études diplomatiques et stratégiques, présidente du Club 21e siècle)

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17:00 - 19:00À l’horizon 2050, la France aura-t-elle encore quelque chose à dire ? Animé par Christophe de Voogd

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Les intervenants

Par ordre alphabétique

Arnaud Browaëys

Le général de corps d’armée Arnaud BROWAËYS intègre l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr en 1987 puis choisit de servir en gendarmerie.
A la sortie de l’Ecole des officiers de la gendarmerie nationale (1990 - 1991) il prend la tête du peloton blindé de l’escadron 11/5 de gendarmerie mobile à Bron (1991 - 1994). Il commande ensuite successivement le peloton motorisé du Haut-Rhin (1994 – 1997), unité départementale de sécurité routière, puis la compagnie de gendarmerie départementale d’Aubagne (1997 - 2000).
Il rejoint, en 2000, le Service des ressources humaines de la DGGN au bureau des personnels sous-officiers, civils et administratifs avant de suivre l’enseignement de la 10 ème promotion du Collège interarmées de défense en 2002.
A l’issue, en 2003, il est affecté comme chargé de mission à la direction de la sécurité du groupe EDF puis rejoint, en 2004, l’ambassade de France en Autriche pour y servir en qualité d’attaché de sécurité intérieure. Il commande ensuite de 2007 à 2010 le groupement de gendarmerie départementale de la Moselle. Affecté à la Direction des ressources humaines du ministère de la défense, il y exerce les fonctions de chargé de mission auprès du directeur de 2010 à 2012 puis suit, en qualité d’auditeur, la 62 ème session du Centre des hautes études militaires et la 65ème session de l’Institut des hautes études de défense nationale de 2012 à 2013. Il rejoint ensuite la direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale pour y exercer successivement les fonctions de chargé de mission (2013 - 2014) puis d’adjoint au sous-directeur de la gestion du personnel (2014 - 2016). Nommé sous-directeur de l’organisation et des effectifs à la direction des soutiens et des finances à compter du 1er septembre 2016, puis adjoint au directeur des personnels militaires le 18 mars 2019, il occupe à compter du 1er septembre 2020 les fonctions de général adjoint au major général de la gendarmerie nationale. Depuis le 1 er février 2021, le général de corps d’armée Arnaud Browaëys, commande la Région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud. Il est officier de la Légion d’honneur et commandeur de l’Ordre national du Mérite.

Arnaud Browaëys

Le général de corps d’armée Arnaud BROWAËYS intègre l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr en 1987 puis choisit de servir en gendarmerie.
A la sortie de l’Ecole des officiers de la gendarmerie nationale (1990 - 1991) il prend la tête du peloton blindé de l’escadron 11/5 de gendarmerie mobile à Bron (1991 - 1994). Il commande ensuite successivement le peloton motorisé du Haut-Rhin (1994 – 1997), unité départementale de sécurité routière, puis la compagnie de gendarmerie départementale d’Aubagne (1997 - 2000).
Il rejoint, en 2000, le Service des ressources humaines de la DGGN au bureau des personnels sous-officiers, civils et administratifs avant de suivre l’enseignement de la 10 ème promotion du Collège interarmées de défense en 2002.
A l’issue, en 2003, il est affecté comme chargé de mission à la direction de la sécurité du groupe EDF puis rejoint, en 2004, l’ambassade de France en Autriche pour y servir en qualité d’attaché de sécurité intérieure. Il commande ensuite de 2007 à 2010 le groupement de gendarmerie départementale de la Moselle. Affecté à la Direction des ressources humaines du ministère de la défense, il y exerce les fonctions de chargé de mission auprès du directeur de 2010 à 2012 puis suit, en qualité d’auditeur, la 62 ème session du Centre des hautes études militaires et la 65ème session de l’Institut des hautes études de défense nationale de 2012 à 2013. Il rejoint ensuite la direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale pour y exercer successivement les fonctions de chargé de mission (2013 - 2014) puis d’adjoint au sous-directeur de la gestion du personnel (2014 - 2016). Nommé sous-directeur de l’organisation et des effectifs à la direction des soutiens et des finances à compter du 1er septembre 2016, puis adjoint au directeur des personnels militaires le 18 mars 2019, il occupe à compter du 1er septembre 2020 les fonctions de général adjoint au major général de la gendarmerie nationale. Depuis le 1 er février 2021, le général de corps d’armée Arnaud Browaëys, commande la Région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud. Il est officier de la Légion d’honneur et commandeur de l’Ordre national du Mérite.

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Photo Chantal Delsol
Chantal Delsol

Elève et disciple de Julien Freund, Chantal Delsol prépare avec lui sa thèse d’Etat ès-Lettres en philosophie « Tyrannie, Despotisme, Dictature dans l’antiquité greco-romaine », qu’elle soutient à la Sorbonne en 1982.

Maître de Conférences à l’université de Créteil en 1988, elle devient professeur à l’université de Marne-le-Vallée en 1992.

Elle fonde en 1993 dans le cadre universitaire l’Institut de recherche Hannah Arendt, dont la vocation est notamment d’explorer les rencontres entre les pensées occidentale, centrale et orientale de l’Europe. Elle crée en même temps des cursus de Masters et d’écoles doctorales délocalisés dans plusieurs pays d’Europe centrale et orientale.

Elle est Docteur Honoris Causa de l’Université Babes-Bolyai de Cluj-Napoca (Roumanie), depuis 2004, et Professeur honoraire de l’Université Ricardo Palma (Lima, Pérou), depuis 2008.

Entre 1994 et 2005, Chantal Delsol dirige aux Editions de la Table Ronde la collection Contretemps, puis à compter de 2008 la section de Philosophie morale et politique de la collection La Nuit Surveillée aux Editions du Cerf.

Editorialiste régulière depuis 1995 au Figaro, elle intervient également dans des colloques, conférences, cours dispensés comme professeur invitée en France et à l’étranger.

En 2008, elle est élue à l’Académie des sciences morales et politiques, en section Philosophie au fauteuil de Roger Arnaldez.

Elle est l’auteur de nombreux ouvrages de philosophie, d’essais et de romans, traduits dans plus de vingt langues, les plus récents étant La détresse du petit Pierre qui ne sait pas lire (Plon, 2010), Manuel de Morale à l’usage du Primaire (Editions des Ecoles, 2012), Les pierres d’angle (Le Cerf, 2014), Populisme, les demeurés de l’histoire (Editions du Rocher, 2015), Le nouvel âge des pères, avec Martin Steffens (Le Cerf, 2015), La haine du monde, totalitarisme et post-modernité (Le Cerf, 2016), Un personnage d’aventure, petite philosophie de l’enfance (Le Cerf, 2017) et Le crépuscule de l’universel (Le Cerf, 2020).

Photo Chantal Delsol
Chantal Delsol

Elève et disciple de Julien Freund, Chantal Delsol prépare avec lui sa thèse d’Etat ès-Lettres en philosophie « Tyrannie, Despotisme, Dictature dans l’antiquité greco-romaine », qu’elle soutient à la Sorbonne en 1982.

Maître de Conférences à l’université de Créteil en 1988, elle devient professeur à l’université de Marne-le-Vallée en 1992.

Elle fonde en 1993 dans le cadre universitaire l’Institut de recherche Hannah Arendt, dont la vocation est notamment d’explorer les rencontres entre les pensées occidentale, centrale et orientale de l’Europe. Elle crée en même temps des cursus de Masters et d’écoles doctorales délocalisés dans plusieurs pays d’Europe centrale et orientale.

Elle est Docteur Honoris Causa de l’Université Babes-Bolyai de Cluj-Napoca (Roumanie), depuis 2004, et Professeur honoraire de l’Université Ricardo Palma (Lima, Pérou), depuis 2008.

Entre 1994 et 2005, Chantal Delsol dirige aux Editions de la Table Ronde la collection Contretemps, puis à compter de 2008 la section de Philosophie morale et politique de la collection La Nuit Surveillée aux Editions du Cerf.

Editorialiste régulière depuis 1995 au Figaro, elle intervient également dans des colloques, conférences, cours dispensés comme professeur invitée en France et à l’étranger.

En 2008, elle est élue à l’Académie des sciences morales et politiques, en section Philosophie au fauteuil de Roger Arnaldez.

Elle est l’auteur de nombreux ouvrages de philosophie, d’essais et de romans, traduits dans plus de vingt langues, les plus récents étant La détresse du petit Pierre qui ne sait pas lire (Plon, 2010), Manuel de Morale à l’usage du Primaire (Editions des Ecoles, 2012), Les pierres d’angle (Le Cerf, 2014), Populisme, les demeurés de l’histoire (Editions du Rocher, 2015), Le nouvel âge des pères, avec Martin Steffens (Le Cerf, 2015), La haine du monde, totalitarisme et post-modernité (Le Cerf, 2016), Un personnage d’aventure, petite philosophie de l’enfance (Le Cerf, 2017) et Le crépuscule de l’universel (Le Cerf, 2020).

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Photo de Anne-Laure Kiechel
Anne-Laure Kiechel

Diplômée d’HEC et de Sankt Gallen, Anne-Laure Kiechel est également titulaire d’une licence de mathématiques de Sorbonne Université (Paris-VI).

Elle commence sa carrière chez Lehman Brothers en 1999 dans plusieurs départements à New York, Londres et Paris avant de rejoindre Rothschild à Paris en 2009. Nommée associée-gérante en 2014, elle créé et développe l’activité de conseil souverain de Rothschild avant d’en être nommée responsable mondiale. A ce titre, elle conseille plusieurs pays du G20 dont l’Argentine, la Grèce, l’Ukraine, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Bénin, etc.

Anne-Laure Kiechel quitte Rothschild fin 2018 pour créer Global Sovereign Advisory (GSA), une société indépendante spécialisée dans le conseil aux Etats et aux entreprises publiques sur les questions de politiques publiques et financières. GSA est active dans des domaines tels que le cadrage macro-fiscal, les politiques économiques, la gestion des actifs-passifs et le périmètre du secteur public, la stratégie de financement, la stratégie économique, la conception, mise en œuvre et évaluation des réformes ainsi que l’évaluation et l’atténuation des risques. GSA conseille actuellement une vingtaine de pays à travers le monde.

En novembre 2019, GSA lance une Chaire sur la dette souveraine avec Sciences Po hébergée au sein de l’Ecole des affaires internationales de Sciences Po (PSIA).

En 2015, Anne-Laure Kiechel co-fonde Youthonomics, un indice qui classe les pays en fonction des opportunités offertes aux jeunes.

Elle préside, depuis 2020, le comité stratégique de la Fondation Sorbonne Université.

Photo de Anne-Laure Kiechel
Anne-Laure Kiechel

Diplômée d’HEC et de Sankt Gallen, Anne-Laure Kiechel est également titulaire d’une licence de mathématiques de Sorbonne Université (Paris-VI).

Elle commence sa carrière chez Lehman Brothers en 1999 dans plusieurs départements à New York, Londres et Paris avant de rejoindre Rothschild à Paris en 2009. Nommée associée-gérante en 2014, elle créé et développe l’activité de conseil souverain de Rothschild avant d’en être nommée responsable mondiale. A ce titre, elle conseille plusieurs pays du G20 dont l’Argentine, la Grèce, l’Ukraine, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Bénin, etc.

Anne-Laure Kiechel quitte Rothschild fin 2018 pour créer Global Sovereign Advisory (GSA), une société indépendante spécialisée dans le conseil aux Etats et aux entreprises publiques sur les questions de politiques publiques et financières. GSA est active dans des domaines tels que le cadrage macro-fiscal, les politiques économiques, la gestion des actifs-passifs et le périmètre du secteur public, la stratégie de financement, la stratégie économique, la conception, mise en œuvre et évaluation des réformes ainsi que l’évaluation et l’atténuation des risques. GSA conseille actuellement une vingtaine de pays à travers le monde.

En novembre 2019, GSA lance une Chaire sur la dette souveraine avec Sciences Po hébergée au sein de l’Ecole des affaires internationales de Sciences Po (PSIA).

En 2015, Anne-Laure Kiechel co-fonde Youthonomics, un indice qui classe les pays en fonction des opportunités offertes aux jeunes.

Elle préside, depuis 2020, le comité stratégique de la Fondation Sorbonne Université.

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Photo David Lisnard
David Lisnard

Diplômé de Science politique, David Lisnard est Maire de Cannes depuis 2014, Président du Conseil de surveillance de l’hôpital de Cannes Simone Veil depuis 2014, Vice-Président du Département des Alpes-Maritimes depuis 2015, Président de l’agglomération Cannes Lérins depuis 2017 et Président de France Congrès depuis le 19 novembre 2020

Il préside également le Comité Régional du Tourisme Côte d’Azur France depuis 2015.

Il est Vice-Président et porte-parole de l’AMF (Association des Maires de France) depuis 2017, et Vice-Président du Comité des Finances Locales.

Passionné d’écriture et pour financer ses études, David Lisnard a travaillé comme rédacteur pour différents journaux durant quatre ans. En 1996, il est recruté comme Directeur de Cabinet et Attaché parlementaire du Député-maire de Lons-le-Saunier, chef-lieu du Jura. En 1999, il rentre à Cannes, travaille à Sophia Antipolis et reprend le commerce familial. Il devient directeur de campagne de Bernard Brochand dans la perspective des élections municipales de 2001. Elu, il est adjoint au Maire en charge du tourisme, du développement économique, des questions de proximité et des cultes. Parallèlement, il est président de la société d’exploitation du Palais des Festivals et des Congrès.

En 2008, à l’occasion des élections municipales, il est élu premier adjoint au Maire et, dans le même temps, Conseiller général de Cannes Est afin de renforcer par son action et ses interventions l’engagement du Département dans la ville de Cannes, véritable vitrine sociale et économique de la région.

En 2014, David Lisnard se présente à la mairie de Cannes avec sa liste « Une nouvelle énergie pour Cannes ». Il est largement élu avec près de 59 % des voix. En 2020, il est réélu maire de Cannes avec un score historique : 88,1 % des voix.

Photo David Lisnard
David Lisnard

Diplômé de Science politique, David Lisnard est Maire de Cannes depuis 2014, Président du Conseil de surveillance de l’hôpital de Cannes Simone Veil depuis 2014, Vice-Président du Département des Alpes-Maritimes depuis 2015, Président de l’agglomération Cannes Lérins depuis 2017 et Président de France Congrès depuis le 19 novembre 2020

Il préside également le Comité Régional du Tourisme Côte d’Azur France depuis 2015.

Il est Vice-Président et porte-parole de l’AMF (Association des Maires de France) depuis 2017, et Vice-Président du Comité des Finances Locales.

Passionné d’écriture et pour financer ses études, David Lisnard a travaillé comme rédacteur pour différents journaux durant quatre ans. En 1996, il est recruté comme Directeur de Cabinet et Attaché parlementaire du Député-maire de Lons-le-Saunier, chef-lieu du Jura. En 1999, il rentre à Cannes, travaille à Sophia Antipolis et reprend le commerce familial. Il devient directeur de campagne de Bernard Brochand dans la perspective des élections municipales de 2001. Elu, il est adjoint au Maire en charge du tourisme, du développement économique, des questions de proximité et des cultes. Parallèlement, il est président de la société d’exploitation du Palais des Festivals et des Congrès.

En 2008, à l’occasion des élections municipales, il est élu premier adjoint au Maire et, dans le même temps, Conseiller général de Cannes Est afin de renforcer par son action et ses interventions l’engagement du Département dans la ville de Cannes, véritable vitrine sociale et économique de la région.

En 2014, David Lisnard se présente à la mairie de Cannes avec sa liste « Une nouvelle énergie pour Cannes ». Il est largement élu avec près de 59 % des voix. En 2020, il est réélu maire de Cannes avec un score historique : 88,1 % des voix.

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Photo Frédéric Masquelier
Frédéric Masquelier©Criscuolo

Avocat et docteur en droit, Maire de Saint-Raphaël depuis septembre 2017, réélu à une grande majorité en 2020, Frédéric Masquelier est également Président d’Estérel Côte d’Azur Agglomération depuis juillet 2020 et Co-Président de la commission Prévention de la délinquance et Sécurité de l’association des Maires de France.

Son action municipale porte sur des axes majeurs : sécurité, jeunesse et éducation, protection du patrimoine architectural et paysager, cadre de vie, transition écologique, solidarités, attractivité et soutien au commerce local, sport et loisirs, culture, patriotisme… Le premier magistrat a notamment lancé le cycle des « Conférences de 18h59 », temps forts de savoir et de culture de notre territoire, réunissant à chaque rendez-vous près de 700 personnes au Palais des Congrès. De grands noms se voient confier le micro pour une heure de conférence gratuite, suivi d’un débat avec le public : Dominique Schnapper, Erik Orsenna, la famille Klarsfeld, Boris Cyrulnik, Pascal Perrineau…

Frédéric Masquelier a participé au Beauvau de la Sécurité clôturé le 14 septembre 2021 par le Président de la République. Il a, en effet, été désigné en janvier dernier par l’Association des Maires de France (AMF), présidée par François Baroin, pour prendre part, avec trois autres élus locaux à la grande concertation nationale pilotée par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et consacrée aux forces de sécurité intérieure.

Photo Frédéric Masquelier
Frédéric Masquelier©Criscuolo

Avocat et docteur en droit, Maire de Saint-Raphaël depuis septembre 2017, réélu à une grande majorité en 2020, Frédéric Masquelier est également Président d’Estérel Côte d’Azur Agglomération depuis juillet 2020 et Co-Président de la commission Prévention de la délinquance et Sécurité de l’association des Maires de France.

Son action municipale porte sur des axes majeurs : sécurité, jeunesse et éducation, protection du patrimoine architectural et paysager, cadre de vie, transition écologique, solidarités, attractivité et soutien au commerce local, sport et loisirs, culture, patriotisme… Le premier magistrat a notamment lancé le cycle des « Conférences de 18h59 », temps forts de savoir et de culture de notre territoire, réunissant à chaque rendez-vous près de 700 personnes au Palais des Congrès. De grands noms se voient confier le micro pour une heure de conférence gratuite, suivi d’un débat avec le public : Dominique Schnapper, Erik Orsenna, la famille Klarsfeld, Boris Cyrulnik, Pascal Perrineau…

Frédéric Masquelier a participé au Beauvau de la Sécurité clôturé le 14 septembre 2021 par le Président de la République. Il a, en effet, été désigné en janvier dernier par l’Association des Maires de France (AMF), présidée par François Baroin, pour prendre part, avec trois autres élus locaux à la grande concertation nationale pilotée par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et consacrée aux forces de sécurité intérieure.

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Photo Ross McINNES
Ross McINNES

Né en 1954, Ross McInnes est de nationalités française et australienne. Diplômé de l’Université d’Oxford, il débute sa carrière en 1977 au sein de Kleinwort Benson, à Londres puis à Rio de Janeiro.
En 1980, il rejoint la Continental Bank (devenue Bank of America) au sein de laquelle il occupe successivement plusieurs postes dans les activités de corporate finance, à Chicago puis à Paris.
En 1989, Ross McInnes rejoint Eridania Beghin-Say, dont il est nommé directeur financier en 1991, puis membre du conseil d’administration en 1999. L’année suivante, Ross McInnes rejoint Thomson-CSF
(devenu Thales) en tant que directeur général adjoint et directeur financier et accompagne la transformation du groupe jusqu’en 2005. Il intègre alors le groupe PPR (devenu Kering) comme directeur général, Finances et Stratégie, puis rejoint en 2006 le conseil de surveillance de Générale de Santé. Il assure la présidence du directoire de Générale de Santé de manière intérimaire de mars à juin 2007. Il occupe aussi les fonctions de vice-Chairman de Macquarie Capital Europe, spécialisé notamment dans les investissements en infrastructures.
En mars 2009, Ross McInnes intègre Safran et devient directeur général adjoint, Affaires économiques et financières au mois de juin suivant. Il a été membre du Directoire de Safran de juillet 2009 à avril 2011, puis directeur général délégué jusqu’en avril 2015.
Le 23 avril 2015, il devient président du Conseil d’administration de Safran. Ross McInnes est aussi Administrateur de Eutelsat et Engie.
Par ailleurs, Ross McInnes est depuis février 2015 Représentant Spécial pour les relations économiques avec l’Australie, nommé par le Ministre des Affaires étrangères et du Développement international dans le cadre de la diplomatie économique française. En octobre 2017, Ross McInnes est nommé par le Premier Ministre, co-président du Comité « Action Publique 2022 », chargé de proposer des pistes de réformes sur les politiques publiques.
Depuis janvier 2018, Ross McInnes est nommé « Trustee » à la Fondation IFRS. En octobre 2018, le Premier Ministre lui confie la mission de promouvoir la France en direction des entreprises du secteur non financier implantées au Royaume-Uni et qui s’interrogent sur leur devenir hors de l’Union Européenne.

Photo Ross McINNES
Ross McINNES

Né en 1954, Ross McInnes est de nationalités française et australienne. Diplômé de l’Université d’Oxford, il débute sa carrière en 1977 au sein de Kleinwort Benson, à Londres puis à Rio de Janeiro.
En 1980, il rejoint la Continental Bank (devenue Bank of America) au sein de laquelle il occupe successivement plusieurs postes dans les activités de corporate finance, à Chicago puis à Paris.
En 1989, Ross McInnes rejoint Eridania Beghin-Say, dont il est nommé directeur financier en 1991, puis membre du conseil d’administration en 1999. L’année suivante, Ross McInnes rejoint Thomson-CSF
(devenu Thales) en tant que directeur général adjoint et directeur financier et accompagne la transformation du groupe jusqu’en 2005. Il intègre alors le groupe PPR (devenu Kering) comme directeur général, Finances et Stratégie, puis rejoint en 2006 le conseil de surveillance de Générale de Santé. Il assure la présidence du directoire de Générale de Santé de manière intérimaire de mars à juin 2007. Il occupe aussi les fonctions de vice-Chairman de Macquarie Capital Europe, spécialisé notamment dans les investissements en infrastructures.
En mars 2009, Ross McInnes intègre Safran et devient directeur général adjoint, Affaires économiques et financières au mois de juin suivant. Il a été membre du Directoire de Safran de juillet 2009 à avril 2011, puis directeur général délégué jusqu’en avril 2015.
Le 23 avril 2015, il devient président du Conseil d’administration de Safran. Ross McInnes est aussi Administrateur de Eutelsat et Engie.
Par ailleurs, Ross McInnes est depuis février 2015 Représentant Spécial pour les relations économiques avec l’Australie, nommé par le Ministre des Affaires étrangères et du Développement international dans le cadre de la diplomatie économique française. En octobre 2017, Ross McInnes est nommé par le Premier Ministre, co-président du Comité « Action Publique 2022 », chargé de proposer des pistes de réformes sur les politiques publiques.
Depuis janvier 2018, Ross McInnes est nommé « Trustee » à la Fondation IFRS. En octobre 2018, le Premier Ministre lui confie la mission de promouvoir la France en direction des entreprises du secteur non financier implantées au Royaume-Uni et qui s’interrogent sur leur devenir hors de l’Union Européenne.

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Photo Gérard Mourou
Gérard Mourou© École polytechnique - J.Barande

Gérard Mourou est professeur et membre du Haut Collège de l’École polytechnique. Il est le co-inventeur, dans les années 1980, d’une technique d’amplification laser appelée Chirped Pulse Amplification (CPA), universellement utilisée aujourd’hui pour créer des impulsions ultracourtes de
très haute puissance ou de très haute cadence. Cette invention lui permettra d’être l’inventeur de la chirurgie femtoseconde réfractive de l’œil et de la cataracte utilisée sur plus d’un million de patients par an.
Gérard Mourou a passé une grande partie de sa carrière aux Etats-Unis, et en particulier à l’Université du Michigan dont il est aujourd’hui professeur émérite. A son retour en France en 2005, il a dirigé le Laboratoire d'optique appliquée (une UMR ENSTA ParisTech/CNRS/École polytechnique) jusqu'en 2008. Il est à l’origine de trois initiatives majeures en matière de lasers de puissance : le lancement du projet XCAN à l’École polytechnique en partenariat avec Thales, du laser Apollon sur le plateau de Saclay et de la grande infrastructure européenne ELI (Extreme Light Infrastructure) qui abritera les lasers les plus puissants du monde en Hongrie, Roumanie et en République Tchèque. Il est également directeur de IZEST (International Zetta-Exawatt Science and Technology) auquel sont associés plus de 27 laboratoires à travers le monde pour anticiper l’avenir des lasers de haute
puissance.
En 2009, Gérard Mourou a reçu le Prix Charles H. Townes de l’Optical Society of America, prix le plus prestigieux décerné en optique, laser et optique quantique. Il est Chevalier de la Légion d’honneur depuis le 13 juillet 2012 et a reçu la médaille Frederic Ives décernée en 2016 par l’Optical Society of
America et le prix Arthur L. Schawlow in Laser Science de l’American Physical Society en 2018. Gérard Mourou reçoit aujourd’hui le prix Nobel de physique 2018, qui vient couronner une carrière dédiée entièrement aux lasers et à la physique.

Photo Gérard Mourou
Gérard Mourou© École polytechnique - J.Barande

Gérard Mourou est professeur et membre du Haut Collège de l’École polytechnique. Il est le co-inventeur, dans les années 1980, d’une technique d’amplification laser appelée Chirped Pulse Amplification (CPA), universellement utilisée aujourd’hui pour créer des impulsions ultracourtes de
très haute puissance ou de très haute cadence. Cette invention lui permettra d’être l’inventeur de la chirurgie femtoseconde réfractive de l’œil et de la cataracte utilisée sur plus d’un million de patients par an.
Gérard Mourou a passé une grande partie de sa carrière aux Etats-Unis, et en particulier à l’Université du Michigan dont il est aujourd’hui professeur émérite. A son retour en France en 2005, il a dirigé le Laboratoire d'optique appliquée (une UMR ENSTA ParisTech/CNRS/École polytechnique) jusqu'en 2008. Il est à l’origine de trois initiatives majeures en matière de lasers de puissance : le lancement du projet XCAN à l’École polytechnique en partenariat avec Thales, du laser Apollon sur le plateau de Saclay et de la grande infrastructure européenne ELI (Extreme Light Infrastructure) qui abritera les lasers les plus puissants du monde en Hongrie, Roumanie et en République Tchèque. Il est également directeur de IZEST (International Zetta-Exawatt Science and Technology) auquel sont associés plus de 27 laboratoires à travers le monde pour anticiper l’avenir des lasers de haute
puissance.
En 2009, Gérard Mourou a reçu le Prix Charles H. Townes de l’Optical Society of America, prix le plus prestigieux décerné en optique, laser et optique quantique. Il est Chevalier de la Légion d’honneur depuis le 13 juillet 2012 et a reçu la médaille Frederic Ives décernée en 2016 par l’Optical Society of
America et le prix Arthur L. Schawlow in Laser Science de l’American Physical Society en 2018. Gérard Mourou reçoit aujourd’hui le prix Nobel de physique 2018, qui vient couronner une carrière dédiée entièrement aux lasers et à la physique.

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Myriam Revault d'Allonnes
Myriam Revault d’Allonnes

Myriam Revault d’Allonnes est philosophe, agrégée de philosophie, elle est titulaire d’un doctorat de philosophie et d’une habilitation universitaire.

Professeure émérite des Universités à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, elle est également chercheure associée au Cevipof. Elle a enseigné la théorie politique à l’Ecole doctorale de Sciences Po Paris et a été directrice de programme au Collège international de philosphie.

De 2006 à 2013, elle a dirigé la collection de philosophie pour enfants « Choiuette ! Penser » aux éditions Gallimard-Jeunesse.

Myriam Revault d’Allonnes est membre de la commission du Livre blanc sur la politique étrangère et européenne de la France (2008) et du Jury de la Conférence de consensus sur la prévention de la récidive (2012).

Elle préside de 2015 à 2018 la commission philosophie-psychanalyse-sciences religieuses du Centre national des Lettres.

Spécialiste de philosophie éthique et politique, ses recherches ont d’abord porté sur la Terreur de la Révolution française, sur le « mal du politique » et le « caractère intraitable » des passions dont est faite l’assise originaire du lien social. Elle s’est interrogée sur la notion de « banalité du mal » et sur la question du « sens de l’humain » entendu comme capacité d’échanger des expériences, capacité dont l’expérience concentrationnaire nous a notamment donné à voir la défection la plus radicale. Travaillant autour de la pensée de Hannah Arendt, elle a également poursuivi, sur la question du politique, des recherches proches, dans leur inspiration et leur perspective, de celles de Merleau-Ponty, de Claude Lefort, de Paul Ricoeur et de Cornelius Castoriadis.

Sa réflexion porte, depuis un certain temps, sur les remaniements conceptuels (notamment autour de la question de la temporalité) qui traversent et renouvellent les divers registres de l’expérience contemporaine. Elle a ainsi publié des ouvrages sur les notions d’« autorité », de « crise » et de « représentation » ainsi que sur les atteintes portées au monde commun et à l’existence démocratique par l’irruption et la diffusion de la notion de « post-vérité ». Sa réflexion sur la démocratie accorde une place décisive aux affects politiques et aux dispositions subjectives que les individus entretiennent à l’égard du mode d’existence démocratique.

Myriam Revanult d’Allonnes est l’auteure notamment de Pourquoi nous n’aimons pas la démocratie (Seuil, 2010), La crise sans fin. Essai sur l’expérience moderne du temps (Seuil, 2012 ; « Points Essais », 2016), Le miroir et la scène. Ce que peut la représentation politique (Seuil, 2016), La politique expliquée à nos enfants (Seuil, 2017), La faiblesse du vrai. Ce que la post vérité fait à notre monde commun (Seuil, 2018 ; à paraître en Points-Essais en octobre 2021 avec une postface inédite) et L’esprit du macronisme. L’art de dévoyer les concepts (Seuil, 2020).

Myriam Revault d'Allonnes
Myriam Revault d’Allonnes

Myriam Revault d’Allonnes est philosophe, agrégée de philosophie, elle est titulaire d’un doctorat de philosophie et d’une habilitation universitaire.

Professeure émérite des Universités à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, elle est également chercheure associée au Cevipof. Elle a enseigné la théorie politique à l’Ecole doctorale de Sciences Po Paris et a été directrice de programme au Collège international de philosphie.

De 2006 à 2013, elle a dirigé la collection de philosophie pour enfants « Choiuette ! Penser » aux éditions Gallimard-Jeunesse.

Myriam Revault d’Allonnes est membre de la commission du Livre blanc sur la politique étrangère et européenne de la France (2008) et du Jury de la Conférence de consensus sur la prévention de la récidive (2012).

Elle préside de 2015 à 2018 la commission philosophie-psychanalyse-sciences religieuses du Centre national des Lettres.

Spécialiste de philosophie éthique et politique, ses recherches ont d’abord porté sur la Terreur de la Révolution française, sur le « mal du politique » et le « caractère intraitable » des passions dont est faite l’assise originaire du lien social. Elle s’est interrogée sur la notion de « banalité du mal » et sur la question du « sens de l’humain » entendu comme capacité d’échanger des expériences, capacité dont l’expérience concentrationnaire nous a notamment donné à voir la défection la plus radicale. Travaillant autour de la pensée de Hannah Arendt, elle a également poursuivi, sur la question du politique, des recherches proches, dans leur inspiration et leur perspective, de celles de Merleau-Ponty, de Claude Lefort, de Paul Ricoeur et de Cornelius Castoriadis.

Sa réflexion porte, depuis un certain temps, sur les remaniements conceptuels (notamment autour de la question de la temporalité) qui traversent et renouvellent les divers registres de l’expérience contemporaine. Elle a ainsi publié des ouvrages sur les notions d’« autorité », de « crise » et de « représentation » ainsi que sur les atteintes portées au monde commun et à l’existence démocratique par l’irruption et la diffusion de la notion de « post-vérité ». Sa réflexion sur la démocratie accorde une place décisive aux affects politiques et aux dispositions subjectives que les individus entretiennent à l’égard du mode d’existence démocratique.

Myriam Revanult d’Allonnes est l’auteure notamment de Pourquoi nous n’aimons pas la démocratie (Seuil, 2010), La crise sans fin. Essai sur l’expérience moderne du temps (Seuil, 2012 ; « Points Essais », 2016), Le miroir et la scène. Ce que peut la représentation politique (Seuil, 2016), La politique expliquée à nos enfants (Seuil, 2017), La faiblesse du vrai. Ce que la post vérité fait à notre monde commun (Seuil, 2018 ; à paraître en Points-Essais en octobre 2021 avec une postface inédite) et L’esprit du macronisme. L’art de dévoyer les concepts (Seuil, 2020).

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Stéphane Rozès
Stéphane Rozès

Stéphane Rozès est président de Cap (Conseils, analyses et perspectives). A ce titre, il accompagne, depuis 2009, des présidences et directions générales de grandes entreprises nationales et internationales, des États et des collectivités territoriales sur leurs stratégies d’opinion et de transformation en les aidant à construire une cohérence entre leurs identités, leurs messages et leurs conduites.
Ancien directeur général de l’institut de sondages CSA, il a travaillé dans tous les secteurs des études d’opinion publique, corporate, de marketing et du numérique.
Il a confidentiellement collaboré avec l’Elysée sous les présidences Chirac, Sarkozy et Hollande. Il continue à échanger régulièrement avec le sommet de l’Etat.
Stéphane Rozès a participé à de nombreux ouvrages collectifs sur la société française, les questions internationales et livre régulièrement, depuis 2005, des contributions aux revues Le Débat (Gallimard), Études, Commentaire et La Revue Politique et Parlementaire.
Au sein du Collège des Bernardins, il est membre du Conseil d’orientation de son Forum et membre du Projet Montesquieu, groupe de réflexion œcuménique. Il a été membre fondateur d’Anima Mundi, groupe pluridisciplinaire qui travaille sur les identités culturelles des peuples, et a été membre du conseil d’orientation d’Aspen France.
Il a été expert national, avec Pierre Radanne, pour le Grand débat sur la Transition énergétique en 2013 et expert pour la Consultation planétaire sur la lutte contre le réchauffement climatique dans le cadre de la Cop21 à Paris en 2015.
Il est membre des Conseils scientifiques de l’Institut Rousseau, de la revue Turbin et de La Revue Politique et Parlementaire.
Stéphane Rozès est, depuis 1990, maître de conférences à Sciences-po Paris et a enseigné à HEC de 2009 à 2011.

Stéphane Rozès
Stéphane Rozès

Stéphane Rozès est président de Cap (Conseils, analyses et perspectives). A ce titre, il accompagne, depuis 2009, des présidences et directions générales de grandes entreprises nationales et internationales, des États et des collectivités territoriales sur leurs stratégies d’opinion et de transformation en les aidant à construire une cohérence entre leurs identités, leurs messages et leurs conduites.
Ancien directeur général de l’institut de sondages CSA, il a travaillé dans tous les secteurs des études d’opinion publique, corporate, de marketing et du numérique.
Il a confidentiellement collaboré avec l’Elysée sous les présidences Chirac, Sarkozy et Hollande. Il continue à échanger régulièrement avec le sommet de l’Etat.
Stéphane Rozès a participé à de nombreux ouvrages collectifs sur la société française, les questions internationales et livre régulièrement, depuis 2005, des contributions aux revues Le Débat (Gallimard), Études, Commentaire et La Revue Politique et Parlementaire.
Au sein du Collège des Bernardins, il est membre du Conseil d’orientation de son Forum et membre du Projet Montesquieu, groupe de réflexion œcuménique. Il a été membre fondateur d’Anima Mundi, groupe pluridisciplinaire qui travaille sur les identités culturelles des peuples, et a été membre du conseil d’orientation d’Aspen France.
Il a été expert national, avec Pierre Radanne, pour le Grand débat sur la Transition énergétique en 2013 et expert pour la Consultation planétaire sur la lutte contre le réchauffement climatique dans le cadre de la Cop21 à Paris en 2015.
Il est membre des Conseils scientifiques de l’Institut Rousseau, de la revue Turbin et de La Revue Politique et Parlementaire.
Stéphane Rozès est, depuis 1990, maître de conférences à Sciences-po Paris et a enseigné à HEC de 2009 à 2011.

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